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mercredi, 15 avril 2009

fausse note.

 

J'ai voulu jouer une nouvelle partition.

Ca s'appelait symphonie pour une négociation.

 

J'en ai encore mal aux oreilles.

Comment j'ai pu choisir un instrument pareil.

 

On arrête là la poésie.

 

J'ai vraiment pas envie.

 

 

Oui je sais c'est du langage sybillin.

 

Si je traduis je voudrais juste dire :

 

" Sale batard d'ex de merde je te pisse à la raie et t'es qu'un gros parasite à qui je vinaigrerais bien la gueule".

 

 

Non mé.

 

Il va pas continuer à me faire chier longtemps  ce déficient mental...

 

Ca existe pas les perfusions de thérapie?

Tain, merde je vais pas me cogner cette daube, sous prétexte qu'il est leur père...

 

Je fais quoi, je lui achète une mitraillette à eau, pour qu'il joue à la guéguerre tout seul dans son jardin?

 

Ras-le cul de tenter de négocier.

Ras le cul d'essayer de comprendre.

Ras le cul d'avoir peur pour mes mômes, ou pour moi...

 

Là tout de suite, je commencerais bien par lui couler une bonne chape de béton dans sa grosse bouche débiteuse de conneries.

 

De toutes façons l'erreur fatale, était de les fabriquer avec lui,mes mômes, pour commencer.

 

Alors gros naze, tu sais quoi:

STOP.....!!!!!!

 

Tes problèmes tu te les carres dans le fion.

Ensuite tu prends tes médocs pour taré psycho rigide.

Pis tu retournes au turbin.

 

Eventuellement tu commences à te sentir concerné par tes devoirs de pères (ouais des enfants, ça bouffe, ça s'habille toussa quoi)

Ouais...au lieu de vomir tes droits partout où tu passes, égocentrique de merde.

 

Et pour finir,

 TU ME LACHES LE CUL, PIGE???

et même que si un jour j'ai envie de me faire culbuter par un troupeau de taureaux, je te demanderai pas ton avis connard...(non mé...)

                                                                                 Un taureau dans la salle?

 

 

 

jeudi, 01 janvier 2009

Cette nuit , c'était la première fois.


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Ils ont sorti leurs trucs.

Tous les deux.

C 'est gros quand même , que je me suis dit dans mon for intérieur.

 

Ils ont voulu que je les touche.

Au début j'ai pas trop osé.

J'avais peur de mal m'y prendre.

J'avais jamais fait, à trois comme ça, avec des gens juste à côté.

 

Le premier m'a montré.

Il a caressé son truc.

J'ai fait pareil.

Plus je touchais d'une certaine façon plus ça grossissait.

C'était impressionnant.

 

Le deuxième restait en retrait...il caressait son machin dans son coin.

En nous regardant.

Puis il s'est approché.

Il voulait me montrer d'autres possibilités.

Il a brandi sa chose dure et en feu.

 

Il m'a fait souffler dessus.

 

Ca a calmé le jeu, un peu.

Après il m'a dit que je pouvais jouer de l'ocarina avec, si je voulais.

 

Je lui ai dit que c'était du pipeau.

Alors il m'a montré, souple et distingué.

C'était hallucinant.

 

L'autre est revenu à la charge, jouant de son piano debout.

(mais pour moi, ça veut dire beaucoup)

2 mélomanes, sans doute.

 

Ensuite l'ocariniste m'a demandé si j'avais soif...

Il voulait bien me donner un coup, à boire.

J'ai refusé...quand même , j'ai des principes

Pourtant son truc était plein.

 

A un moment il voulait que je joue avec sa boule.

(il ne m'en a proposé qu'une, j'ai pas bien compris)

Bon fallait quand même éviter de la foutre dans le trou.

 

Finalement, on a du  s'arrêter, en pleine partie.

 

L'autre s'est mis à vibrer.

Merde , un épileptique.

Non.

Juste sa mère qui l'appelait.

"Bonne année" qu'elle disait.

 

Ca a un peu cassé l'ambiance.

 

Ils ont rangé leurs trucs.

Tout le monde s'est rassis à sa place.

 

Pour une première fois, ça s'est pas trop mal passé.

Pis c'était énorme, quand même.

Pour une novice comme moi qui n'avais jamais eu un  seul I-phone  entre les mains.

Alors deux, je vous laisse imaginer.

 

mercredi, 31 décembre 2008

maigret de canard, toussa, toussa

 

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mesdames et messieurs bonsoir.

 

et bien nous voici arrivés au dernier jour , voire aux CINQ dernières minutes de cette magnifique année 2008.

et oui, telle que vous me lisez, je suis en train de vous écrire.

Non je déconne à l'heure qu'il est je guinche dans un appart parisien avec une majorité d'inconnus.

 

Bon 5 MINUTES...Le temps des bilans, en somme.

 

Une année marquée par de drôles d'événements.

 

Premièrement , mon retour dans la vie sexuelle. Enfin à deux . (Oui j'ai arrêté les touzes....)

Fantastique: je fonctionne encore. (Bon je m'en doutais , vu que seule, ça marche très très bien)

 

Faut juste que je trouve un jouet qui soit pas made in china. C'est trop naze, je le casse, il se casse ou on se casse chacun de notre côté. (lui vers l'asie, évidemment)

Une bite en bois dans la salle? Une bonne bite en bois made in Jura?

 

Non c'était cool, quand même.

même si.

si j'ai encore pratiqué du con.

con , putain merde.

 

Deuxièmement, mon arrivée dans la vie avec un ex taré.

Lui à part une lobotomie, je vois plus bien ce qui pourrait le calmer.

Dire que j'ai vécu 11 ans avec ce taré, je me fais peur parfois.

Bref faut que je m'en fiche, faut que je m'en fiche, faut que je m'en fiche.

 

Qu'elle a dit Roxanne.

Ce qui m'amène à mon troiz'. : mon entrée dans la thérapie.

et l'espoir de vivre bien avec moi -m'aime , un jour.

 

Cette année aura été aussi l'occasion de me rendre compte de ce que j'aime faire.

et de ce que je n'aime plus faire.

J'aime écrire.

J'aime pas les usines de l'éducation nationale.

Et si que j'écrivais sur comment j'aime pas les zusines?

 

Bon pour le moment faut que je bouffe et que je fasse bouffer mes petiots.

Comment ça me travaille sévère de larguer tout ça...

 

Mais chaque chose en son temps.

et dans 2 minute 37 c'est 2009...qui comme son nom l'indique sera 2OOO neuf.

 

il me tarde.

de me résoudre.

 

à continuer de fumer.

à déconner avec mes morveux de fils que je les aime , putain , quand même.

à réussir à faire des macarons.

à finir un truc commencé.

à poursuivre ma carrière sexuelle.

(à faire donc des séjours dans le jura, ou a fréquenter les foires aux bûcherons)

à voir , voir, et revoir mes ami(e)s.

à me mettre aux rollers.

à me dire que c'est pas bien grave tout ça.

à finir de décoller ce putain de papier peint.

à avoir de moins en moins peur d'être ce que je suis.

 

c'est à dire pas grand-chose, mais c'est déja beaucoup par rapport à rien.

 

bonne année toute neuve tout le monde.

 

2008 est morte , qu'elle le reste, cette conne.