samedi, 19 décembre 2009
au bord de lui.
Au bord de lui.
C’est arrivé par hasard.
Comme d’habitude.
Sauf que les habitudes hasardeuses, déjà…
Un rendez-vous, chez le dentiste, chez l’assureur, ou avec un humain.
On s’est beaucoup heurté en marchant.
Je me suis demandée si c’était une façon comme une autre de se toucher.
Je ne savais pas trop quoi penser.
D’ailleurs est-ce que j’avais envie de ?
Juste être là, des tranches de vie étalées trempées en désordre dans la tasse brûlante.
Pas oser boire. Tout de suite.
Bien trop chaud.
Peur de se brûler.
Se pincer les lèvres en repensant à la dernière fois que… douloureux encore.
Se promener n’importe où juste pour souffler, sur le chaud.
Il faisait froid tout autour.
Juste pour se réchauffer alors…oui c’est ça marchons.
J’ai marché alors.
Au bord de lui.
Tout un après midi.
Le temps de remettre les dominos dans l’ordre et de les assembler…
Et d’envisager la perspective d’un chemin…
au pays de Peut-être …
15:13 Publié dans écriture coeursive | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
Euh, tu crois qu'tu vas conclure? Parce que dans ce domaine, faut rien laisser au hasard....
Bibi tout bronzé
;-)
Écrit par : avec un D comme... | dimanche, 20 décembre 2009
:)
Écrit par : Maïpi | lundi, 21 décembre 2009
je sais que t'en a rien à battre, rien à secouer, rien à carrer, rien à cirer, rien à faire, rien à glander mais je te souhaite un joyeux noyel avec une phrase incroyable : tais toi et pousse!!!
des gros bibis!!!
Écrit par : jerome-b | vendredi, 25 décembre 2009
Et bonne année aussi ( radasse, va!)
biz
Écrit par : le b | dimanche, 17 janvier 2010
merci maïpi.
merci jérome, toi aussi, radas... ;)
Écrit par : melleblabla | jeudi, 21 janvier 2010
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