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mercredi, 24 septembre 2008

Comment mon blog partit en Sucette...



Axl.jpg

 

 

 


 

 

Je vous présente Oyster.

C'est un am-"e".

Un Peau être.

Un Beau Aime.

On est presqu'un team.

On s'amuse bien tous les deux.

Enfin, moi oui.

 

 

 

 

 

 

 

 

ATTENTION PUBLIC CONCERNE PAR LA LECTURE DE CE QUI SUIT: Celles et ceux qui aiment les Sucettes pour les grands.

Désolée ,pour les autres, je ferai peut-être un truc sur Bernadette Soubirous, une prochaine fois....

 

 

 

 

 

 

 

Elle avait finalement accepté .

Il se demandait quel fake il allait trouver. Ceci dit il voulait vérifier.

Il se lava, on ne savait jamais.

Elle arriva au métro convenu.

 

Il fût presque étonné. Elle était donc.

Suffisamment jolie.

Prestations de politesse, clope, thé ou café.Prestement.

Le temps c’est précieux.

 

C’était plus facile que ce qu’elle avait imaginé.

Elle lui emboîta le pas dans une bouche. C’était pas loin.tant mieux , elle exécrait ce moyen de transe-porcs.

Et puis il allait quand même pas trop s’expatrier.

Déjà, inviter le quart monde chez lui, c’était presque du social.

 

Quelques rames plus tard, elle visita ses chiottes et imagina le moment où il avait du prendre ce cliché , journaleux, chapeauté et déculotté.

 

Puis il commença à faire son numéro.

Avec des smileys vivants qui traduisaient son semblant d’humanité.

Elle le laissa faire, amusée.

 

Jusqu’aux premiers échanges salivaires.

Ensuite les mains s’occupèrent d’ôter, d’enlever, de tâter.

De le préparer…si tant est qu’il restait quelque chose à préparer.

 

C’était plus facile que ce qu’elle avait imaginé.

Il ne fallait pas s’y coller : elle avait envie de s’y coller.

C’était vraiment plus facile que ce qu’elle avait imaginé.

 

Alors elle s’y colla.

Il râla…

Ca n’avait même pas commencé.

 

Alors elle commença.

La douceur d’une caresse humide.

Une visite de courtoisie.

Sur sa fragilité.

Elle le regardait.Tout en besognant.

Lui était intermittent de la cécité.

 

Elle n’avait jusqu’alors, fait que contourner.

Juste faire connaissance avec sa peau, d’abord.

S’arrêter , un peu, ici, pas trop.

Guetter le moment où il veut plus.

Ne pas forcément le satisfaire d’ailleurs.

Juste guetter le désir.

Et le laisser s’épanouir.

Il voulut la toucher .

Non.

 

Elle avait du travail.

S’occuper des annexes.

S’occuper d’un peu plus loin.

Le voir bloquer sa respiration.

Laisser ses mains l’aider. Lui . Elle…

Un qu’on serre…

Et enfin, maintenant … ni avant , ni après.

Juste là.

Lui appliquer le garrot mouillé tant espéré.

 

Il râla.

Elle répondit à son encouragement.

Il voulut la toucher.

Non.

Le prit en bouche entièrement, feintant une libération , l’emprisonnant à nouveau.

La perpétuité ?

Non.Ce ne serait que conditionnel.

Il fallait qu’il lui remette son du.

Qu’il purge sa peine…

 

Le balai des mains , du regard et de la cavité buccale l’avaient condamné…à une petite mort.

Il purgerait , les secondes étaient comptées.

 

Les imperceptibles prémices de la fin s’annonçaient…

 

Il allait la nourrir.

Le reflexe d’ejection.

La tétée donnée par le mâle.

Elle sentit son corps se contorsionner.

 

Puis sur sa langue les premières gouttes de sa récolte.

Elle avait vraiment fait du bel ouvrage. Elle joua, regarda le visage crispé tout en se rassasiant du liquide nourricier.

 

Pendant que lui,s’écroulait dans un nouveau râle , le dernier.

 

Il s’endormit.

A son réveil, la bouche était partie.

Etait-elle seulement venue ?

Il vit la bouteille sur la table.

C’était elle la suceuse…

Déception ? non

Perception.

Quand M . lui téléphona, il eut envie de partager son rêve.

 

« et c’était bien ? »

« écoute, elle suçait tellement bien que même à une hémi-centaine de kilomètres, ç’aurait été trop bon »….

« enculéééééééé »

« j’espère, la prochaine fois ».